l'économie

Par Ardarín von Habsbourg

De L'épargne :

épargne hebdomadaire du mineur : 7*(7.5+0.8 ) = 58.1 écus
en considérant le prix d'une nourriture supérieur à 21 écus de moyenne (moyenne haute volontaire) cela fait deux jour de nourriture supérieur plus un reste d’épargne de 16.1
sachant que cette nourriture compense l'achat de deux pains sur jour normal le mineur il économise 15 écus supplémentaires sur deux jours
15+16.1 = 31.1, donc au troisième jour il y a possibilité d'acheté une nourriture supérieure et de garder 10 écus
quatrième jour 17.5 écus de liquidité donc achat d'une miche, reste 10.8 progression de 0.8 écus / jour jusqu'au dimanche jour de paye de la moitié de salaire restante
puis nouvelle boucle en incluant le reliquat d'économie.

On peut rajouter un reliquat de 7 écus avec le salaire minier à 16 au lieux de 15 ce qui n'améliore pas la capacité à consommer des biens supérieur de manière sensible sauf une semaine sur deux.

Disjonction des cas :

épargne hebdomadaire du vagabond mineur :
même schéma mais aucun report de consommation, donc épargne franche
donc au final 58.1*2 sur deux semaines : 116.2 moins les 90 écus de paiement au conseiller du Comte pour l'obtention d'un champ il reste 26.2 écus
suffisant pour mettre en culture un champ de maïs, un potager, impossible sinon (délai supplémentaire et report de la consommation vers la production, ce que je privilégie dans un premier temps car en augmentant son épargne on améliore sa capacité temporel à consommer)

le salaire à 16 dans les mines lui confère une aisance de départ dans la production agricole pour les champs de blé mais non immédiate

De tout ceci nous pouvons ressortir une formule générale d'épargne, notée Bv :

Bv = 50 + 5*Jn + 2P +J( (Smi/2) - P ) + (Smi/2)*[ 7-Jn + 7E( (J-Jn)/7 ) ]
Avec :

épargne hebdomadaire du paysans ancré dans son cycle productif :
Prenons un exemple avant de généraliser, d'après moultes calculs basés sur la grille salariale suivante et des prix fixes:
le revenu moyen journalier des paysans est de 4.26 toute production confondue

donc si l'on considère l'homogénéisation qui fait que l'on considère le revenu du champ comme répartie chaque jour (c'est une approximation car si on considère les fait il faut attendre la fin du cycle productif pour toucher le revenu de son investissement agricole je m'attarderai sur une description détaillée ultérieurement)

7*(7.5+4.26+0.8 ) = 87.92 écus en fin de semaine en déduisant un achat de pain chaque jour
considérons en moyenne de deux embauches par semaine à 21 écus il reste 45.92 écus de capacité de consommation de bien supérieur
soit deux jours plus un reliquat insignifiant.

On peut rajouter un reliquat de 7 écus avec le salaire minier à 16 au lieux de 15 ce qui n'améliore pas la capacité à consommer des biens supérieur de manière sensible.

Nous pouvons donc ressortir une formule général d’épargne Bp du paysan en début de cycle productif, à savoir qu’il ne mange pas de nourriture supérieure.

Bp = ( Bv – 90 ) + J ( (Smi/2) – Pm ) + (Smi/2) [ 7-Jn + 7E( (J-Jn) / 7 ] + E(J/C) *(µ)
Avec :
µ = (Q * P) – (Se * Ne +Pb*Nb)
avec
De plus il est possible d’ajouter un décalage périodique dans le calcul de la fonction de production mais seulement au cas par cas. Si un retard se créé il engendrera un report du gain final.
Certains diraient que cela amoindris le salaire journalier du fait de l’augmentation du cycle de production, ce qui est vrai. Dans la formule si présente on peut très bien définir cela de sorte à dire qu’en fait on recule d’un jour l’arrivée de la rente.

Ainsi la formule E(J/C) *(µ) devient E ( (J-D)/C ) *(µ) ou D représente le décalage temporelle

cas appronfondi du paysan :

condition initiale : si l'on concidère qu'un vagabon mange une miche de pain à 6.5 écus chaque jour, qu'il dispose de deux miches et de 50 écus, qu'il travail 2 jours à l'église puis 12 à la mine nous avons le calcul suivant :

(50 + 2*5 + 12*15) - (12*6.5 +90) = 72 écus diponible après le changement de niveau

selon les cycles de production nous avons 6 cas,

le blé :

sur dix jours il faut de prime abord deux embauches pour 20 de caractéristique soit une dépence de 44 écus sur deux jours, accompagné d'une miche de pain pour se nourire chaque jour la dépense est de 57 écus. Si c'est le premier cycle il faut rajouter le coût d'un sac de blé et la dépense augmente à 70 écus, donc avec les conditions de passage de niveau la mise en culture du champ est immédiate. Concidéron de plus qu'il travail à la mine ce qui lui fait gagner 15 écus sur deux jours au deuxième jour il lui restera 17 écus

maintenant appliquons la formule d'épargne suivante ( SM/2 - PP)*J [salaire minier divisé par 2 moins le prix du pain, le tout multiplié par le nombre de jour] notre bléiculteur se retrouvera au 10 ème jour (jour d'embauche pour récolter) avec (7.5-6.5)*8 = 8 écus en plus de ces 17 écus soit 25 écus, ce qui fait de quoi embaucher sur son champ tout naturellement et une épargne de 3 écus. Bien entendu en 8 jours il aura reçu l'autre moitier de son salaire de mineur soit 52.5 écus suppémentaires pour 7 jours.

le jour suivant il aura 55.5 écus plus son salaire d'un jour à la mine soit 63 écus en poche, il mettra en vente sa production (soit 9 sacs de blé sur les 10 produits puisqu'il en gardera un pour semer à nouveau) et un nouveau cycle commencera. La vente de ces 9 sacs de blé lui rapportera environ (9*13) = 117 écus ajoutés aux 63 autres auquel on retire les embauches et auquel on rajoute la formule d'épargne. Et caetera.

La situaion du bléiculteur est donc des plus honorables même avec un salaire de mine à 15 écus.

Ainsi je décris ici en détail la formule généralisée applicable aux champs :

Epargne = [(Salaire/2 - pain*prix)*Jour] - (Nbr embauche * salaire') + [(Salaire/2)*arrondi inf (nbr semaine) + prix prod*qte]

la formule en termes simplifiés est : E = [ (S/2 - P*m)*J - (Em*S') + (S/2)*AISem + P'*Q ]

On simplifie en général en concidérant la rente des champs ( P'*Q) et le salaire comme données homogènes fixes de sorte que la formule devient :

E = [ (S - P*m) + (P'*Q - Em*S')/C ]*J

où C représente le nombre de jour du cycle productif.
La simplification est interessante quand il s'agit de prévoir sur le long terme (plusieurs mois) ce que donnera le choix d'un producteur et l'on peut calculer facilement en changeant la formule le nombre de jour qu'il nous faudra attendre pour avoir telle somme d'épargne, en revanche il faut utiliser la formule d'origine (dite complète) afin de déterminer ses choix d'entreprise sur courte période (de lordre du moi). La formule complète étant de même plus précise elle permet de savoir au jour près sa cituation non perturbée (pas de voyage, pas de jour sans paye... pas de bière, pas d'inflation, bref une cituation de rêve).

formules fausses se référrer au début

De la Consommation Minimum :

Nous qualifierons différentes hypothèses simples :

Chacun doit manger chaque jour pour rester en forme
Chacun à trois choix pour s'alimenter
- Un PF
- Deux PF
- Trois PF

D'une manière économique générale je désapprouve fondamentalement de ne consommer que un PF tous les deux jours puis deux PF, cela porte préjudice à la production. Je suis tout à fait opposé au fait de ne manger qu'un jour sur deux ou sur trois en l'absence de caractéristique pour les mêmes raisons.

La consommation minimum (ou alimentaire) que je qualifierais de bonne pour l’économie (favorisant le maximum d'échange et favorisant la production) est donc de manger pour deux PF chaque jour et cela permet d'être en bonne santé! La consommation peut cependant s'étendre un peu plus et aller jusqu'à trois PF, en effet en mangeant un aliment à un PF puis un à deux PF nous arrivons à une "surconsommation" utile en gain de temps mais plutôt onéreuse, si chacun consommait de la sorte (ce qui est bien entendu impossible à moins d'être très riche) j’émettrais des réserves quand à la surchauffe et l'effet sur la production (soit il y aurait sous production avérée, soit un arrêt brutal de ce mode de consommation entraînerait une forte déflation), ce cas de figure étant très limité nous n'en parlerons cependant pas.

En partant sur le principe du théorème de satiété des besoins nous pouvons dire que la consommation de nourriture est fixe dans le temps, chaque jour chacun mange pour deux PF. Ou tout du moins il le devrait pour la santé économique du Duché.

De manière générale nous savons que :

Les vagabonds mangent du pain ou deux maïs
Les paysans mangent de chaque aliment en fonction de leur envie
Les artisans mangent de chaque aliment en fonction de leur envie
Une majorité d'étudiants mangent du pain ou deux maïs

Cependant aucune donnée empirique ne peut nous dire qui mange quoi et quand. Selon les choix personnels quelqu'un peut décider que le prix des légumes est suffisamment intéressant pour en prendre plus que pour son repas du jour mais que le lendemain il mangera autre chose finalement.

Il en va ainsi pour chaque chose. On peut donc envisager via l'étude du marché si il y a trop ou pas assez de producteurs d'un bien de consommation, mais on ne pourra jamais prévoir la consommation effective.

La marche la plus logique à suivre est de regarder l'évolution du stock de nourriture sur le marché.
Si la quantité présente d'un bien ne fluctue que faiblement (entre +/- 0 et +/- 7 unités par jour) il serait acceptable de dire qu'il y a une production suffisante par rapport à l'envie de consommation du bien sauf si la quantité présente est faramineuse, auquel cas le stock présent sur le marché est une perte pour les producteurs.
Si la quantité diminue de manière importante au point de créer fortement de l'inflation il serait envisageable d'augmenter la production soit par l’installation nouveau producteurs soit en commerçant.
A l'inverse si la quantité augmente fortement créant de la déflation il faut soit proposer des cessations d'activité temporaire, ou des changements de voie, ou encore faire marcher le commerce extérieur en proposant la surproduction à l'export.

Il est cependant logique de croire qu’arrivé à un certain niveau de prix certains producteurs cesserons d’eux même la production préférant travailler ailleurs, considérant que produire pour le prix du marché n’est pas satisfaisant. Mais nous reviendront sur ce point ultérieurement.

De la Consommation Supérieure :

Dans les cycles productifs il existe de nombreux biens.

La nourriture est un bien de consommation minimum, nécessaire pour vivre. Nous pourrions l'appeler bien fini, puisqu'à la fin de cycles productifs.
Il y a les biens intermédiaires, entrant dans la production d'autres bien (le fer, le blé, les carcasses, la laine, le bois etc.)
Il y a au final des biens de consommation supérieurs qui sont également des biens finis (les épées, les haches, les couteaux, les échelles, les habits etc.)

Il n'est pas plus aisé de définir leur consommation du fait que l'usure des biens finis est fluctuante. Là encore l'étude du marché nous permet de dire si la production est suffisante, excessive ou insuffisante.

De la Production :

Nous devons tout d'abord définir différents types de production.

La production agricole
La production artisanale

La production agricole est assez simple. Il faut de la terre, le cas échéant de quoi semer ou des outils pour récolter et parfois de quoi nourire les bêtes. Bien entendu il faut du travail.

Le travail peut être effectué par sois-même ou par un employé agricole. D'une manière général il ets toujours préférable de faire travailler quelqu'un pour soit, en effet on y gagne en réputation et on peut essayer de trouver un travail pour soit qui soit mieux rémunéré tout en visant une production optimum.

En fonction de chaque champs la production change comme définie dans les models économiques standarts que nous en rappelerons pas dans un but de clarté.

Ainsi de manière général nous pouvons définir la fonction de production, ou plus exactement de revenu de la production.

µ = (Q * P) – (Se * Ne +Pb*Nb)

Nous avons donc définie la fonction de revenu agricole en fonction du salaire et donc de la qualification du travailleur il est ainsi possible de définir le revenu de l'exploitation de sa terre.

La fonction de production artisanale ou fonction de revenu de la production artisanale est d'un type similaire ormis le fait qu'il est impossible d'embaucher quelqu'un pour faire le ravail à sa place.

Il existe différents bien de l'artisanat chacun répondant à une méthode de production particulière définie dans les models économiques standarts l'étude de ces models nous permets de définir la fonction de revenu artisanal comme suit :

le prix du produit fini moins le coût des biens nécessaires à la production donne le salaire.

£ = P*Q - (P'*Q' + P"*Q")

De même en fonction du salaire qu l'on désire s'atribuer on peut prévoir le prix de sa production :

P = [ S + (P'*Q' + P"*Q") ] / Q

avec S le salaire souhaité