Ennobblissement par kremroat - lettre patente

kremroat a écrit:: Depuis Son arrivée en Lorraine il y a de cela bientôt 3 mois messire Ardarín von Habsbourg à toujours servit l’intérêt du Duché de Lorraine.

Il est l’architecte du castel de Nancy et à toujours géré icelui au mieux sans faille et en prévenant les autorité compétente de ce qui se passait. Notamment en fournissant les preuves de la trahison de Bertrane.

Son engagement date aussi de la première heure il fut adjoint du premier maire de St Dié et l’aida à résorber les surproduction en les exportant dans d’autres villes, en dehors du Duché ou en fournissant le Duché en matière nécessaire à sa prospérité. Il n’a pas hésité à utilisé sa fortune personnelle pour le développement de la ville.

Il fut aussi un membre actif de nostre armée et organisa en tant qu’officier en second de la caserne de St Dié la prime défense de le ville lorsque les risques de révoltes furent accrus en prenant des initiatives judicieuse alors que son supérieur directe était absent.

De plus Messire Ardarín von Habsbourg utilisa ses compétences d’économistes et de diplomate au services du Duché lorsque celui-ci devint conseiller ducal. Et Bien qu’il démissionna car il se savait avoir à faire moultes voyages, je le rappelai pour m’épauler et aider au développement du Duché. Il accepta de suite et ce mit au travail sans plus tardé.

A peine entré de nouveau au conseil messire von Habsbourg prononça un long et exhaustif discourt sur l’économie ducale dans son entier et posa les bases de l’économie qui fut la notre. Il optimisa les rôles du CaC du Cam et du Bailli afin que le Duché de Lorraine soit prospère et viable. Force est de constater que les réformes qu’il proposa par rapport à la politique du conseil provisoire, qui nous transmit un Duché en négatif, fut du meilleur effet puisque à peine une semaine et demi après l’application de ses mesures nous étions de nouveau en positif et en croissance exponentielle. Nos moyens d’actions et la vigilance qui fut la sienne ne cessèrent de croître. Surveillant les stock ducaux il utilisa son argent propre pour écouler les marchés des villes surproduisant en voyageant chaque jour et fournir le Duché où les mairies qui redonnait les denrées au CaC.

Il est à noté que messire Ardarín fut présent tout au long des deux mois, dans l’ombre des conseillers officiels, et qu’il dû travailler avec 3 CaC, 3 baillis et 3 CaM différents. Et chaque fois que le poste changeait de main il formait le nouveau conseiller et lui expliquait les choix judicieux et les politiques à appliquer afin qu’ils puissent faire fasse seul pendant ses voyages.

Concernant ses voyages, ceux si ne furent point pour lui, sinon à quoi bon l’évoquer. Non en effet il voyagea pour le compte du Duché, il nous trouva moultes contrats avec nos voisins ou en suggéra d’autres, dont d’autres conseillers furent chargés de des négociations (bien qu’il conseillait lesdits conseillers lors des négociations) et il voyagea près d’un moi et demi sans rémunération pour exporter et importer ce qu’il fallait au Duché. Une estimation précise de ce qu’il fit gagner au Duché est la suivante : 3 contrat de vente de fer, un de pierre et un de blé nous ont rapporté plus de 21500 écus, tandis qu’il nous rapporta à moindre coût des stock que nous pûmes revendre avec une marge de 3000 écus.

Cependant l’investissement de messire Ardarín ne s’arrête pas là. Il a aussi aider le Chancelier de Lorraine en proposant une réforme de la structure des ambassades, réforme fonctionnelle et toujours en cours dont le conseil entier accepta la mise en place très tôt.
Il négocia aussi avec le chancelier sur certains points de la diplomatie notamment dans les affaires extérieurs avec les Flandres ce qui permis de protéger notre recteur qui put continuer son travail (qui est des meilleurs soit dit en passant).

Enfin, alors même qu’il était appeler à aider ailleurs et donc à devoir nous laisser il continua ses actions d’aide et de conseil, proposant moultes lois, décrets et en proposant la version finale de notre ordre du mérite.

Messire Ardarín est homme au travail irréprochable et, bien qu’ayant subi d’ignobles attaques publiques, il restait humble au conseil et toujours égale à lui même travaillant toujours avec la même force et détermination sans attendre de remerciement puisque son travail n’était connu que des conseillers seuls.

Pour ses qualités morales et d’investissement qui égalèrent et même surpassèrent celles de nombres de conseillers je désire honorer messire Ardarín, méritant parmi les plus grand si ce n’est le plus grand, de la baronnie de Ruppes .

Faict à Nancy le 19 Février 1455

Kremroat de St Anges

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