Mémoires du Nord et de l'Est - Récit du noble voyageur

Prologue:

Il est dit que dans ce genre d'exercice qu'est de raconter le récit de sa vie, on peut mentir. Sachant que ceci se destine à ma descendance plutôt qu'à mes ennemi il n'y a pas raison de falsifier ou de dénaturer le Vrai en le Faux. Partant de se principe et dans une volonté orgueilleuse je retracerai ce que ma mémoire me renvois dans le plus simple et véridique fait.

Il ne sera pas dit que ce qui a de l'importance, non! Il sera tout dit de mon histoire, comme un récit d'une vie imaginaire avec ce qu'il y a de bien, de moins bien et de mal. Vous apprendrez certainement des choses que vous ne saviez pas ou n'aviez même pas imaginé.

Je suis né il y a 18 ans le 5 Février de l’an de grâce 1436. Je suis le second fils de Albert II de Habsbourg et de Jeanne de Ferrette. Cependant mon père mourut trois ans après ma naissances laissant ma mère seule pour m’élever moi et mon frère aîné Eudes, c’est ce qui à forger mon caractère.

Après le décès de ma mère en 1451 j’ai quitté le domaine familial que mon frère reprit en main. J’arrivais alors à Dunkerque en Flandres, Flandres où j’avais déjà passé une grande partie de mon enfance. Entre temps, sur les chemins, je fis plusieurs mauvaises rencontre qui du fait de mon jeune âge furent de cuisantes défaites. Je perdais alors, habits, bourse, épée, cheval et insignes familiaux. Etant non loins des Flandres je me dirigeais tout naturellement vers icelle. Ma mère m'avait jadis montré la mer et le son de sa voix hante toujours l'écume quand je suis sur la plage ou en barque.

Or donc après quelques jours d'errance j'atteignait enfin la ville, comme un pouilleux, crasseux et nauséabond. Mon premier geste fut dd'aller à l'eau pour me laver des souillures du voyage.

Ensuite pour ne pas mourir de froid en cet fin d'hiver j'allais à l'église demander asile et chaleur contre un peu de travail. Et pendant deux jours je ne quittais pas les lieux. Ensuite seulement, grâce à quelques bavardage avec d'autre travaileurs j'entedit parler de l'éléphant rose, taverne du plus de celui qui allait devenir le plus truculent des taverniers Flamands, Messire Wilbur d'Harlegnan.

chapitre second : les licornes et les éléphants

Sur les conseils de moultes gens je em rendis donc dans cette fameuse taverne dont on disait qu'elle avait la meilleure bière après celle de chez masquelourd et dotn le tavernier était réputé fort bavard et joyeux.

Lors de ma première entré en les lieux je compris sont nom, des tapisseries partout représentait un fol bestiaire. Je compris également la réputation le l'établissement quand je me retrouvais ivre après uen heure passez à boire et à discuter.

Cependant et malgrès mon apparence de va-nu-pied d'aucun se doutait que j'étais de noble ascendance. Mon éducation autrichienne et flamande me permettait de répondre à moultes question et de coriger els anciens dunkerquois présents en taverne. Passé le prime étonement le tavernier se réjouit d'avoir tel client qui pouvais le remplacer s'il n'était pas présent. A l'époque je pêchais loin et grâce à du bon matériel je pouvais passer plus de temps en taverne a discuter. Et j'apprenais et diffusais le savoir.

C'est aussi en taverne que je rencontrait moultes amis : Wilbur le premier, le tavernier, Ceseargl le sergent de police puis tant d'autres parmis lesquels : Brunor, Morthal, Radek, Poupoule, Kristof, Justine, Aurélie, Lapin, XLDpaw alias le Doc...
Un soir j'eu même le plaisir de faire la connaissance de sommités Anveroises : Jeanjacob de Gilraen et Dragonfire.

Le temps passait j'acquis un champ et j'achetais une petite maison, et toujours on me voyait chez Wilbur, tant et si bien qu'un jour il me remit pendant deux jour les clefs de sa taverne pendant qu'il voyageait. J'étais fier et m'occupais au mieux de tout. Cependant le dernier soir avant son retour, et après quelques, voire trop, de verres avec mon ami Ceseargl le comptoire fut aspergé des reste corporels de bière en plsu du reste... le ménage le lendemain se fit très vite pour que Wilbur ne remarque rien. Ce qui fut le cas.

Et m'apercevant chaques jours d'avantage de mes possibilités lorsque je captivais auditoire ou que je débatais avec les autres me vint des idées et des envies : le négoce.
Ce faisant c'est en taverne que je trouvait mes employers pour mon champ, pendant que je continuais de pêcher.

Et les semaines passaient et je retrouvais un peu de ce que j'étais. Wilbur étant tisserand j'échangeait mes poissons à prix modique pour sa taverne en échange de nouveaux habits bien chauds. L'apelle du voyage sonnait dans mon coeur...

Chapitre trois : le premier départ

Me voici déjà depuis un moi et une semaine à Dunkerque, la vie bas son plein. Je me suis engagé dans la marine Flamande, mon maniement de l'arc et de l'épée furent apprécié ainsi que ma force, les exercices sont fréquentmais les temps calmes : aucune menace de conflit à l'Horizon. C'est à peu près dans le même temps que je rentre dans la vie politique et que j'adhère au plus vieux parti politique flamand, le Lion des Flandres sous l'appel de Kristof et Ceseargl.

Peut avant tout ceci j'avais fait la rencontre de Tournaisiens, et surtout de Tournaisiennes. Armoria, Archimbaud, Alexaria, Sebonemo et Catharina. De joyeux lurons et des connaissances très agréables. Elles m'avaient appelés elle aussi à les rejoindre dans leur parti, le second parti le plus anciens le flamand rose, dont faisait parti Louis-hubert le fils bâtard de Wilbur.

La présence fit le reste j'ai rejoins ceux que je connaissais le mieux.

Cependant j'avais envie de voir du pays, de faire du commerce et de rencontrer de nouvelles gens. C'est ainsi quependant quelques temps j'emmagasinais poisson et légumes. Après deus semaiens je prenais la route. Juste avant je rencontrais Gruntor qui devint un ami, ce petit personnage maigrichon dont on vaoyais peu le visage tant il était courbé venais d'arriver en ville.

La route fut calme j'avais pris de quoi voyager quelques jours. Arrivé à Tournai je vendais le poisson et j'allais au verger. Le maire de l'époque, Horgastic m'achetais une aprtie de ma cargaison contre des fruits à bon prix. Après une halte suffisament longue pour que Armoria me fabrique uen grande échelle et que je l'use un peu je repartie vers Ghent où je ne m'arrêtais que deux jours. A Ghent je rencontrais Elendir, Bierhoff, Guélie, Daine et Tigerman. Après avoir proposé quelque snouveauté sociale qui à l'époque était de bon allois je m'en allait de nouveau sur les chemins direction Antwerpen.

A anvers mon séjour fut plus long et les rencontres plus nombreuses. Je retrouvait JeanJacobe et Dragonfire pendant que je rencontrais Kilerfiles, Mormynette, Charles, Artie, Folidouce et tant d'autres.

C'est à anvers que mon plus gros profit vint de la vente de fruit contre leur bois en surproduction apparente sur le marché. Je restait une semaine je bucheronnais et je retrounais vers ghent vendre le bois contre de nouveaux fruits que j'avais promis d'échanger à nouveau contre du bois. Parti avec 21 poissons j'étais, après deux semaines, avec 175 stère de bois et près de 15 miches de pain pour me nourir au cas où je ne trouverais pas mon bonheur en taverne. A l'époque je mangeais beaucoup de fruits et légumes par jour.

De retour à Anvers certaines choses allaient se précipiter.

Peu après que je remète les pieds à Anvers celle-ci fut attaquée par une brigand nommée Miaou. Elle et ses hommes ont pillé de fond en comble les caisse et els entrepots avant que nous n'ayons pus réagir. Et la réaction fut vive ce lundi 27 Mars de l'an de grâce 1454!

Je venais d'être promu Quartier maître de la marine, ce grade équivalait à celui de sergent de l'armée. A Antwerpen aucun soldat n'avait de grade supérieur au mieux qui était en ville. Le temps que l'adjudant Lohan arrive je pris donc la tête des opérations de reprise de la mairie avec les hommes de la garde comtale : les fiers soldats d'Antwerpen.

L'attaque de la marie fut intense, la cavalerie mit pied à tere une fois les grilels reprises et les périmètre de la mairie repris, grâce aux archers nul brigand n'était visible aux fenestres et l'ont pu pénétrer sans grande inquiètude dans la mairie sous couvert prudent de nos boucliers. C'est alors que L'adjudant Lohan, un ami membre du Lion des Flandres, arriva. Il pu participer à l'assaut final, je lui remis le commandement et suivais alors ses ordres.

Lohan me donna la direction d'un groupe pendant qu'il prenait la tête d'un autre et nous nous retouvames après des heures de progression dans le bureau conduisant aux coffres de la ville. La nos fers côte à côte fendir les ennemis et Lohan me sauva d'un trépas tandis que je faisait de même juste avant. Je maniais souvent l'arc pendant la percée antérieure et au coin d'un couloir j'avais abatu un brigand qui l'assayait par derrière quand nous nous somems retrouvé. Lui fendit un pleutre lorsque je tirai l'épée pour l'assaut final.

La mairie fut reprise non sans mal, j'était un peu blessé et je du faire refaire ma côte de maille. Beaucoup de soldats étaient blessé, nombre d'ennemis tués (une dizaine au plus) quelques prisonniers ufrent jugés alors que Miaou avait réussie à fuire emmenant près de 20.000 écus de richesses.

Plaies pensées, larmes séchées, mais lavées chacun repris sa petite vie je fut alors promu une fois de plus dans la hiérarchie militaire

Premier Quartier Maître.

Je décidais alors que mon long voyeage avait touché à sa fin et je rentrais à Dunkerque par la voie la plus courte. En deux jour j'était rentré et la fortune accumulée me permit d'acquérire un nouveau champ. Cependant je reparti sur les routes voyant que Tournai manquait de bois dont disposait Antwerpen en grande quantité. Sur la route entre Anvers et Tournai je fut malheureusement attaqué par un homme de peu de fois qui em dépouilla de tout bien dans uen embuscade. Les jours suivant je lançait une traque mais inutile : l'homme était venu dans la ville où j'étais, il fut alors arrêté et je pu récupérer la moitier de ma fortune.

350 écus de bois me furent rendus par le lieutenant de Police de Saint-Aubain. Depuis lors nous communiquâmes souvent et nous liâmes d'amitier réciproque. Le même jour je rencontrait Thonolan et Mirrdyn ainsi que Ganondorf et Velvettears. De nouveaux amis avec qui je vivrai de folles aventures... mais celà je ne le savais aps encore.

Durand cette même période, à la caserne de Tournai en laquelle j'avais beaucoup séjournée durand mes voyages, je faisais la rencontre de Damoiselle Bele-malice, nous nous éprimes l'un de l'autre et nous correspondions souvent, s'envoyant de tendre billet par pigeon ou nous retoruvant dans son bureau privé de lieutenant de l'intendance.

Que de doux moment nous vécument alors!

Or donc il fut dit que j'étaisde retour en ma douce ville de Dunkerque. J'y avais occupé sous Doudel le poste de recenseur de la ville, tache qui de part mes voyages ne put être accomplie longtemps. Comme je me prédestinais à d'autre voages encore je remis mon poste à mon ami Brunor. Le fait est qu'avec mon travail à l'armée je n'avais plsu le temps. D'autre part j'étais également devenu ambassadeur au Sussex d'outre-Manche et mon implication dans la vie politique commençais, je titubais encore ce qui me valus quelques problèmes sur la gargotte.

On me voyais souvent à soutenir Zien Nith, bien qu'a lui seul il pouvais secouer les politiciens et qu'il ne nécessitait nullement mon aide. Cependant je titubais, voire trébuchait encore en poltique mes prises de paroles ne furent donc que de peu de valeur à l'époque... ce qui n'allais pas durer. Je m'assagis par la grâce de Dieu et par plusieurs événements.

Je savais que Belle ne connaissait pas ses aprents et qu'elle avait été élevé par les bonnes soeurs et grâce à l'aide d'Armoria nous trouvâme et son père et son frère jumeau. Il lui fut long et elle me mis dans les confidences étant proche des deux parties. Il s'avéra en recoupant les information que Belle-malice etait la fille bastarde de Wilbur et soeur de Louis-Hubert d'Harlegnan... grande surprise!

J'appris celà que les relatiosn entre Belle et moi même était plus qu'épanouies. Par un doux soir d'Avril je la demandais en mariage devant son père et son frère qui m'accordèrent sa main. Mon coeur batait fort et la nuit fut si douce. Je crois que jamais plus je ne vivrais pareille joie sauf si Dieu me l'accorde une nouvelle fois.

Belle déménagea alors à Dunkerque, cependant les événements du Nord nous séparèrent : la guerre entre la bretagne et la Normandie éclata et j'était parmis les quelques volontaires pour partir en guerre. Le combat m'appelais, moi, ce jeune homme de tout juste 18 ans, je partais tuer des Arristotélicien breton pour protèger la Normandie phookaïste... le jeu des alliances est si perfide.

Ainsi donc je laissais ma promise s'occuper de la maison pendant que je partais guerroyer aux côtés de mes amis Jean-Jacob, Mormynette sa soeur,Charles de la Tour, Ganondorf et biens d'autres.

chapitre six : le retour et les honneurs

Je n'étalerai pas les mouvements de guerre. Le souvenir est presque horrible à ma mémoire et la fureur qu'il m'éveille me sert dans tout nouveau combat. Je dirai juste que beaucoup de sang à coulé, que mon arc à chanter et que mon épée à vibré et bu beaucoup. Ceci dit je ne fut que légèrement blessé. L'enseignement du maniement de l'épée que j'ai reçu par le maistre d'arme des Habsbourg suivit par l'entrainement à la caserne de Dunkerque que j'avais accentué après mon brigandage me rendirent plus fort.

De retour de la guerre comme j'avais gardé de nombreux biens et ressources chez moi avant partir je pu faire embaucher sur mes champs (ma douce Belle-malice à bien gerré mes biens durand mon absence), ceci me donna un revenu à mon retour très interesant. De même j'obtint salaire pour la guerre et j'avais reçu paiement de lapart des Normands, je devins alors riche, très riche et c'est ainsi que commença mon aventur de marchand et de banquier.

Mon don pour le "marchandage" et le dialogue me firent devenir conseiller au commerce sous Nicjoachim, et je lui avait trouvé quelques contrats pendant le voyage d'aller et de retour de la guerre, mais il ne fit rien. Je fus reconduis sous le mondat de mon ami et future beau père Wilbur. Etant alors en Flandres je put gérer moi même les missions commerciales et j'en profitait pour accroitre mes revenus en mêem temps... On commerce à certaines quantités pour certains plus ses quantité propre à l'autre de bout de la chaine mal informée.

Durand mon dernier aller retour en flandres pour la mairie j'ai escorté une amie : Catharina, elle voulais déménager à Antwerpen. Mes moultes voyages me permirent de rencontrer de nombreux amis non vu depuis longtemps. Ma réputation à Dunkerque, Ghent et Anvers était à son plus bel état, c'était la grande période du commerce libre.

Peu avant que j'escorte Catharina, je m'était enregistré aux élections municipales à la succession de Wilbur, je n'eu aucun concurant menaçant et le mardi 20 Juin 1454 je suis élu maire de Dunkerque je remportais les élections en étant absent durand la période des élections avec un score de 84.7% .
Juste après je devins également meunier et le travail dans mon moulin et à la mairie me prenait tout mon temps.

Il est à noté que le premier jour de mon élection je du faire fasse au pillage nocturne des marché de la ville, il ne restait plus rien et mes stock avais été mis à mal. Lapin et Xldpaw (deux amis) avait pillé le Duché avec leur compaires Lordion, Nikator et deux autres... des mandats à 999.999,00 écus furent volés et servirent à piller les marchés. Je dus m'activer dès mon premier jour poru réaprovisionenr la vilel en urgence afin que personne ne meurt de faim.

Je commence à croire que tout es agité où je vais,mais j'aime les défit. Avec un mairie à 7000 écus deliquidité et 2000 écus de stock je travail dur et le résultat de mes actiosn commerciales est plsu que fructueux. En relation quotidiennes avec le CaC de l'époque le seigneur de Steen TheSuperPiou je redresse les caisses, remplis les marchés à des prix concurentiels relance l'économie et met en pace des chaines de production et mon plan sociale pour remplir la mine d'or est un succès, grâce à des caisses saines j'arrive même à payer chaque semaine et le premier les impôt prélevés (2000 écus).

Je deviens le maire Flamand par excelence me dis TSP, actif, bon gestionnaire et commerçant, présent et réactif. Ceci dit grâce à ma place au parlement qui datait de quelques mois déjà j'avais déjà expérience des manières et usages de la gestion. Ce fut plus facile mais plus le temps passait moins celà m'amusait. La route m'appelait.